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« Quand j’ai découvert l’amour du Seigneur, j’ai compris qu’il fallait le répandre !

 

A travers l’appel de l’évêque, le Seigneur a fait de moi un instrument pour communiquer son Amour.
Chaque jour, dans l’Eucharistie et la prière, les innombrables soucis et projets d’une vie ordinaire retrouvent leur place. »
                                                                                                                                                                                                      Sylvie
 
 

 

 

« Confiance, lève-toi ; il t’appelle.  »  Cette invitation faite par un disciple de Jésus à l’aveugle Bartimée m’a touchée au cœur. C’était la première fois que j’osais m’avouer à moi-même que j’étais appelée par le Seigneur.

Pour arriver jusque là, le cheminement s’est fait très progressivement, très discrètement aussi, de façon quasi invisible pour moi, sans que j’en aie vraiment conscience. Mais petit à petit, le Seigneur a travaillé mon cœur au gré des rencontres, des circonstances de la vie. Et ce jour-là – le jour de l’aveugle Bartimée – a été le début du commencement.

Le Seigneur continue à me mener, en toute discrétion, sans jamais rien imposer, mais en donnant la grâce de dire oui. »

Marie-Madeleine

 

 

 

« Le jour de l’accueil du pape en Belgique, ce qui en moi était un pressentiment s’est imposé comme une certitude :

Dieu me voulait à Lui. Lui seul peut me combler.

A travers moi, Il veut se communiquer à tous… Le Seigneur m’invitait à demeurer enfouie dans le monde, comme le levain dans la pâte, mais en m’enfouissant plus encore dans son Amour. »

Thérèse

« Tout a commencé lorsqu’à 18 ans, par curiosité, j’ai poussé la porte de l’église de mon quartier. Là, j’ai découvert l’évangile et j’ai lu… C’est peu dire que Dieu m’a fascinée ! Ma vie a pris une toute autre dimension devant ce Dieu qui me parlait personnellement…

Très vite s’est fait jour en moi un appel pressant à n’exister, à ne vivre que pour Celui-là, et à communiquer à tous ceux que je rencontrais le bonheur immense que j’avais reçu.

La vocation d’auxiliaire de l’Apostolat est ce « lieu » où après un long temps de discernement et de formation, notre évêque m’a appelée pour toujours comme apôtre du Christ.

Mon existence s’est écoulée : dactylo parmi les employées de l’Etat, participante aussi active que possible à la vie de mon immeuble, de mon quartier, ma commune, le syndicat, un parti politique, paroissienne parmi les autres, véritablement laïque comme n’importe qui… Mais « vissée » à Dieu de tout mon être, n’existant plus que pour le faire connaître et aimer !

De la Sainte Vierge, j’apprends chaque jour à redire « oui » qu’il me soit fait selon cette parole qui s’est manifestée pour moi par la voix de mon évêque. »

Monique